Dans cet article, je vais vous décrire le matériel que j’utilise que ça soit pour la partie vidéo, shooting vidéo, pour les sociétés ou Mariages !
Ice Communication ?
ICE Communication est une agence assez récente ! Pour bien démarrer l’activité, j’ai décidé d’investir rapidement dès l’ouverture de l’agence, pour cela j’ai réalisé un prêt bancaire avec la banque le CIC. Après de nombreux conseils avec mon comptable, des amis proches spécialisé dans le financement et forcément le banquier, j’ai pu également être accompagné par la BGE, qui m’a fortement conseillé. Après avoir vu plusieurs banques, j’ai décidé de faire mon prêt au CIC. Cela c’est fait assez rapidement !
Au Début de l’agence
Dès l’ouverture, j’ai donc acheté mon matériel via un fournisseur sur Paris « visual impact », c’est Agence accompagne de grosses sociétés, et pour moi c’était un critère pour avoir des conseils, des tarifs forcément plus avantageux. Je vous avouerai que au début j’avais très peur de commander sur Internet, que le produit soit endommagé quand je le reçois, j’ai envoyé pas mal de mails et téléphoner plusieurs fois pour savoir quand le colis allait arriver. Dès la réception du colis, j’ai pris immédiatement plusieurs photos, ça va il était en très bon état. Au moment où j’ai ouvert, tout était très bien emballé et très soignée, gage d’une qualité.
Pour les débuts de l’agence, j’ai donc commandé : un Sony A7 III, deux objectifs, le premier un 12-24 et le deuxième un 50 mm. Pour ranger tout ça j’ai fait le choix d’acheter un pelicase avec mousse. Avec cela j’ai également acheté un quitte de nettoyage, des batteries supplémentaires ainsi qu’un chargeur, un micro sans fil RODE, plusieurs cartes SD (on n’en a jamais assez), un trépied milieu de gamme. Cet investissement m’a coûté à peu près 8000 €.
J’ai également acheté à Stabilisateur DJI ronin-SC, j’ai beaucoup hésité avec les différents modèles qui existe, et au final je suis super content, avec les différents modes ainsi que les mises à jour via l’application, et son poids assez léger.
Après plusieurs tournages, j’ai décidé de commander un nouvel objectif un 24 mm en 1.8, et au final elle est hyper utile, et j’utilise pratiquement tout le temps celui-là maintenant, la qualité est vraiment superbe.
Les points forts du Sony A7 III :
- Tropicalisation
- Stabilisation du capteur.
- Bonne qualité d’image jusqu’à 12 800 ISO.
- Rafale à 10 i/s sur 70 RAW.
- Mode « haute résolution ».
- Vidéo 4K UHD 24p et Full HD 120p sans recadrage.
- Double logement pour cartes SD.
- Prise USB Type-C et recharge pendant l’utilisation.
- Viseur Oled
Les points faibles du Sony A7-III :
- Un seul des deux emplacements SD est compatible UHS-II.
- Écran tactile sous-exploité.
- Définition du moniteur et du viseur limitée.
- Crop en 4K UHD à 30p.
Prise en mains
D’extérieur, le Sony A7 III s’inspire de son aîné A7R III dont il reprend le châssis principal. Que ce soit au niveau du capot ou du dos, il ressemble donc comme deux gouttes d’eau à l’A7R III. Seul le petit bouton de blocage des modes a été supprimé sur ce boîtier. On retrouve aussi le joystick, le déclencheur vidéo judicieusement positionné à côté du viseur, les menus mieux organisés (mais toujours aussi denses) et le double logement pour cartes SD, dont l’un seulement est compatible avec les cartes mémoires UHS-II, initialement emprunté à l’A9 — qui constitue d’ailleurs le repère central de ce rafraîchissement.
L’excellent viseur Oled de 2 359 296 points a été mis à jour. Il n’est pas tout à fait aussi défini que les A7R III et A9, qui ont grimpé à 3,6 Mpts, mais il reste spacieux, agréable et très lumineux. La vitesse d’affichage à l’écran a légèrement diminué, passant de 1 228 800 sur l’A7 II à 921 600. Cependant, il est toujours réglable de 107° vers le haut et de 41° vers le bas. Malheureusement, il n’est toujours pas monté sur une rotule pivotante à 180°, ce qui est plus pratique pour utiliser l’appareil en vidéo par exemple. Le tactile ne le fait pas non plus, ne permet que de modifier le point AF ; il faut un peu de temps pour naviguer dans le menu du bout des doigts (sur la version Mark IV, espérons-le ?).
Comme l’A7R III, l’A7 III est alimenté par la batterie très endurante NP-FZ1000 de 2 280 mAh inaugurée par l’A9. L’autonomie annoncée par Sony est de 710 photos avec l’écran LCD, et 610 avec le viseur ; nous avons relevé de notre part de 500 à 600 vues (selon l’utilisation du viseur ou de l’écran). L’indicateur en pourcentage du niveau de la batterie est fort utile pour anticiper sa recharge.
Enfin, la connectique est complète : ports USB 3.1 Type-C et standard, prise HDMI, télécommande, casque, micro (jack 3,5 mm), Bluetooth, Wi-Fi et NFC. Histoire de bien différencier les boîtiers et leurs usages, la prise synchro-flash est réservée à l’Alpha 7R III et le connecteur RJ45 à l’Alpha 9.
L’A7 III profite du module AF 4D de l’A9 offrant 693 points de mise au point à détection de phase et 425 points de mise au point à détection de contraste avec une couverture de 93 % du champ. Au vu des excellents résultats obtenus avec l’A9, nous avions peu de doute quant à la réactivité de l’A7 III, ici confirmée par notre chronomètre. L’allumage est son point faible : il s’avère particulièrement lent selon l’objectif monté, comparé notamment à l’allumage d’un boîtier reflex. L’autofocus réagit très bien dans de bonnes conditions lumineuses et de manière correcte en basse lumière. L’A7 III est par ailleurs doté de la fonction de reconnaissance des yeux Eye AF, à présent fonctionnelle en continu et plus seulement en AF-S. Nous sommes toutefois déçus par la latence entre deux vues, presque deux fois plus importante que sur le Panasonic GX9, par exemple.
Du côté de la rafale, l’A7 III se démarque et enchaîne 8,4 images en mode Hi et jusqu’à 10,45 images en Hi+ avec l’objectif 24-70 mm FE f/2,8, que ce soit en JPG ou au format RAW+JPG. Nous avons noté une rafale légèrement moins impressionnante et moins homogène avec le 50 mm f1,8 FE, mais tout à fait honorable cependant. Nous sommes certes encore loin des 20 i/s de l’A9, véritable bête de course spécialement conçue pour la photographie sportive, mais avec une réactivité accrue, l’A7 III est capable de répondre aux besoins du plus grand nombre.
Les Stabilisateurs :
Pour le Stabilisateur j’utilise donc le ronin SC, j’ai acheté également récemment le Ronin-M, où je parle utiliser plutôt sur des formats type pub, vidéo je dois être très stabilité avec d’autres mouvements que le Ronin SC. Ce qui est un peu dommage c’est que le Ronin M est assez lourd !
Source : https://www.lesnumeriques.com/reflex-hybride/sony-alpha-7-iii-a7-iii-p43351/test.html